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#portugal

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"Todos os ramos das Forças Armadas, PSP, CP, vários ministérios e dependências diretas do Governo. São muitos e há muitos anos os negócios entre as empresas para as quais a Spinumviva trabalhou e o Estado. Esse cenário continuou com Luís Montenegro já primeiro-ministro, conseguindo duas delas os maiores contratos de sempre numa relação longa com o setor público.

A CNN Portugal fez uma análise extensiva aos contratos adjudicados às empresas reveladas na atualização feita por Luís Montenegro à Entidade da Transparência, descobrindo que, segundo o portal Base, três delas têm já uma longa relação com o setor público, enquanto outras duas têm apenas pequenas ligações. As outras duas - Rodáreas e Portugalenses Transportes - não aparecem.

Desde o período desde 2 de abril de 2024, quando o Governo da Aliança Democrática (AD) tomou posse, a ITAU conseguiu um total de 24 contratos com entidades que dependem diretamente da ação do Estado central ou com organizações de grande relevo público.

Contratos que totalizam 53.217.839,90 euros, num valor que se explica em mais de metade por dois contratos com a Santa Casa da Misericórdia de Lisboa, um deles num valor superior a 31 milhões de euros."

cnnportugal.iol.pt/clientes-da

CNN Portugal · Dois clientes da Spinumviva ganharam mais de 90 milhões em contratos com o Estado durante o Governo de MontenegroBy António Guimarães

Toujours aussi riche de #podcast

Minuit dans le siècle: Anticoloniale et antifasciste : comment la révolution a gagné le Portugal (partie 1)

Lien de la page web de l'épisode: minuit-dans-le-siecle.castos.c

minuit-dans-le-siecle.castos.comAnticoloniale et antifasciste : comment la révolution a gagné le Portugal (partie 1)Après un double épisode sur la dictature fasciste au Portugal, qui a duré près d'un demi-siècle (1926-1974), on aborde dans ce double épisode la Révolution des oeillets, à nouveau avec l'historien Victor Pereira. Cette révolution est souvent réduite au 25 avril 1974, journée magnifique durant laquelle un soulèvement militaire organisé par des officiers intermédiaires - les fameux "capitaines d'avril" - fait tomber enfin la dictature. Ce récit dissimule non seulement que la révolution a commencé sur le terrain colonial (comme on l'avait montré dans les précédents épisodes sur la dictature), avec l'offensive politico-militaire des mouvements de libération nationale - en Angola puis en Guinée, au Cap-Vert et au Mozambique - qui se déploie à partir du début des années 1960 et qui va considérablement affaiblir le régime. Mais la focalisation sur le 25 avril 1974 manque également ce qui va se jouer dans les 19 mois qui vont suivre, à savoir l'intrusion des classes populaires - ouvriers et employés des villes mais aussi paysans pauvres des campagnes du Sud - sur la scène politique. Dès les semaines qui suivent la chute du régime émerge ainsi le plus grand mouvement gréviste de l'histoire du pays. Il signale d'emblée que le peuple portugais n'aspire pas à troquer une élite modernisatrice contre une caste réactionnaire. Ce qui est vite à l'ordre du jour à mesure que la révolution se développe, c'est à la fois la décolonisation immédiate, la conquête d'une démocratie réelle (ne se réduisant pas à l'élection de "bons" représentants), et la sortie de la misère pour l'ensemble des travailleurs·ses. À travers des pratiques de lutte radicale et auto-organisées, cela va progressivement conduire à la montée d'une conscience anticapitaliste et à une aspiration à construire un "pouvoir populaire". Victor Pereira a publié notamment le livre "C'est le peuple qui commande. La Révolution des Œillets : 1974-1976", aux éditions du Détour en 2023. Épisode enregistré en octobre 2024. Montage : Aurélien Thome.

Woke up this morning and I am seeing this news about the #blackout in some parts of Europe ( #spain #portugal and parts of #france) Honestly I really don’t know how to sympathize with them because down in Africa we are used to this type of things, I am 34 years old and I have never witnessed consistent electricity for 2weeks and I have lived in 6 different African countries.
Just a day of power outage and these former colonial powers are running around like it’s 9/11.
Sorry guys but not sorry

Well, spending the May Day holiday week in #Portugal definitely turned out to be a choice, starting with the metro coming to a halt in darkness.

Clearly not something people here are used to, but everyone cheerfully took the day off and just chilled on the sidewalks.

And it was definitely worth the 9-hour #blackout to be part of the crowd on Lisbon’s Rua Augusta at ~20:50 when the lights came on again there.